Un rythme infernal
Tout d'abord, il semble qu'un ennui technique ait empêché la parution du blog du 29 fevrier, intitulé rectificatif. L'erreur semble corrigée maintenant. Mille excuses aux lecteurs assidus.
Revenons à la journée du jour, le 1er mars.
Réveil à 2 heures par le téléphone de bord pour aller admirer les aurores boréales
À 8 heures, debout pour avoir une chance d'avoir un croissant au petit déjeuner
À 9 heures, au boulot pour sortir une édition spéciale du blog suite à la féerie de la nuit
À 10 heures, on prend le Bateau
Pour assister à la conférence
Où l'on nous explique comment sur 4 km on a croisé un chenal pour que notre bateau puisse passer là où avant on pouvait traverser à pied
À 11h30, déjeuner pour pouvoir descendre à l'escale de
On récupère un vélo
On vérifie sur Google Maps implanté
pour trouver l'église
On revient en courant pour ne pas rater le bateau qui part dans 3 minutes
14 heures, on lit Le Monde pour avoir des nouvelles du Coronavirus, en espérant qu'ils nous confinent sur le bateau mais pas dans la cabine
À 14 heures, nouvelle escale,
On part chercher un vélo
pour monter un pont
On prend la photo
On descend du pont
On revient en courant pour ne pas louper le bateau qui part dans 2 minutes
16 heures, on prend un vélo
Pour aller au jacuzzi
On revient en courant, le bateau est dans une minute !
À 17h30 dîner !
Autant dire qu'avec un déjeuner à 11h30 et un dîner à 1h30, on est prêt pour l'EPHAD !
Un dernier vélo
Pour rejoindre le groupe
pour une randonnée nocturne de 2 heures
Étonnez vous qu'après ça, on s'effondre dans le canapé du salon panoramique
Ah, vivement les vacances !